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Collection: Patch All That Remains : plus qu’un écusson, une bannière metalcore
Un patch, c’est bien plus qu’un bout de tissu à accrocher sur une veste. C’est un signe de reconnaissance, un cri textile, une manière de dire au monde entier : « Voilà qui je suis. » Et quand il s’agit d’un Patch All That Remains, ce n’est pas juste une déco cool, c’est une bannière.
All That Remains, c’est l’un de ces groupes qui ont façonné le metalcore et le heavy moderne. Leur logo, leur imagerie, leurs pochettes d’albums : tout est taillé pour être porté fièrement sur une battle jacket. Porter un écusson All That Remains, c’est hurler ta passion pour un groupe qui a su mélanger la mélodie, la brutalité et l’émotion brute.
Alors non, ton patch n’est pas qu’un accessoire. C’est un drapeau. Et il te suit partout : concerts, festivals, soirées, pogo…
Les racines : quand All That Remains a débarqué dans la scène métal
On est à la fin des années 90. Phil Labonte, ex-chanteur de Shadows Fall, monte un nouveau projet. Son idée ? Créer un groupe capable de combiner le meilleur des deux mondes : la puissance du death metal mélodique et l’accessibilité de refrains accrocheurs. C’est ainsi que naît All That Remains.
Dès 2002, avec Behind Silence and Solitude, ATR se démarque. Mais c’est surtout avec This Darkened Heart (2004) et The Fall of Ideals (2006) que le groupe explose. Des riffs tranchants, une batterie qui cogne sec, et cette alternance entre chant clair et growl qui deviendra leur marque de fabrique.
À partir de là, impossible d’ignorer All That Remains. Et forcément, impossible de passer à côté d’un Patch All That Remains si tu veux rendre hommage à ce pan entier du metalcore.
La marque sonore de All That Remains : mélodie + puissance
Si tu connais All That Remains, tu sais pourquoi tant de fans accrochent : ils réussissent à combiner l’agressivité des riffs avec des refrains presque hymniques.
- La voix de Phil Labonte est une arme à elle seule. Capable de growler avec violence avant d’envoyer un refrain chanté clair qui reste gravé en tête.
- Les guitares, elles, balancent des riffs rapides, techniques, mais jamais gratuits. C’est taillé pour être efficace en live comme en studio.
- Et puis il y a les solos, souvent sous-estimés, qui rappellent que ces mecs viennent du metal pur et dur.
Résultat : All That Remains touche autant les fans de metalcore que ceux de heavy mélodique. Porter un écusson All That Remains, c’est montrer que tu ne te limites pas à une seule facette du métal. Tu aimes la rage et la mélodie, le chaos et la beauté.
Porter un écusson All That Remains = afficher une identité hybride
Un écusson All That Remains ne passe pas inaperçu. Il raconte qui tu es : un fan qui aime autant headbanger sur un riff brutal que chanter à pleins poumons un refrain fédérateur.
Dans la jungle des battle jackets, certains écussons crient “extrême”, d’autres “old school”. Celui d’All That Remains ? Il dit que tu es un fan ouvert, hybride, qui sait apprécier la richesse et la diversité du métal moderne.
Et puis, soyons honnêtes : dans un festival, croiser un autre métalleux avec un Patch All That Remains, c’est direct un signe de complicité. Tu sais qu’il a vibré sur Two Weeks, qu’il a hurlé sur This Calling et qu’il s’est laissé emporter par What If I Was Nothing.
Les différents styles de patchs All That Remains : imprimé, brodé, à coudre
Parce que chaque fan vit sa passion différemment, les patchs existent en plusieurs styles.
- Patch imprimé All That Remains : parfait pour représenter des pochettes d’albums iconiques. The Fall of Ideals, Overcome ou For We Are Many prennent une nouvelle vie en version textile. Les couleurs ressortent, et tu portes littéralement un morceau de discographie sur toi.
- Écusson All That Remains brodé : plus sobre, mais ultra résistant. Le fil donne du relief, un côté old school qui traverse le temps. Idéal si tu veux que ton patch survive à des années de concerts et de lavages.
- Patch à coudre All That Remains : le rituel des vrais. Tu prends ton aiguille, tu passes du temps à le fixer. Résultat : il ne bougera pas d’un poil, même après 10 circle pits et 3 wall of death.
Chaque style a sa vibe, mais tous disent la même chose : « Je fais partie de la famille All That Remains. »
La battle jacket : sans un Patch All That Remains, il manque un chapitre
La battle jacket, c’est plus qu’une veste. C’est ton autobiographie de fan cousue en patchs. Et soyons clairs : sans un Patch All That Remains, ton histoire a un gros trou.
ATR, c’est un pilier du metalcore moderne. Si tu as un patch Killswitch Engage, Parkway Drive ou August Burns Red, il faut l’équilibre avec un écusson All That Remains. Sinon, il manque une pièce au puzzle.
Un gros patch All That Remains dans le dos, entouré d’autres groupes que tu kiffes, c’est une affiche vivante de ta passion. Ta veste devient une scène miniature.
Les moments live d'All That Remains : quand ton patch devient une relique
Assister à un concert d’All That Remains, c’est une expérience. L’intensité, l’énergie, la sueur, la communion avec le public… Chaque show est un condensé d’adrénaline.
Et ton patch, cousu sur ta veste, en garde des traces. La bière renversée, la poussière des festivals, les coups pris dans le pit : tout ça s’imprime dessus. Ton Patch All That Remains devient une relique. Plus il vieillit, plus il prend de la valeur symbolique.
C’est ça la magie d’un patch : il vit avec toi.
L’héritage et l’influence de All That Remains
All That Remains, c’est plus de vingt ans de carrière et une discographie qui a marqué le metal moderne. Des albums cultes, des hymnes qui continuent de tourner dans toutes les playlists metalcore.
Leur influence dépasse même leur genre. Ils ont inspiré des générations de groupes, en prouvant qu’on pouvait allier puissance et accessibilité sans se trahir.
Porter un Patch All That Remains, c’est rendre hommage à cet héritage. C’est dire : « J’étais là, je connais les racines. »
DIY & entretien : prolonger la vie de ton patch All That Remains
Un Patch à coudre All That Remains, ça demande un peu d’attention pour durer. Voici quelques astuces :
- Toujours coudre plutôt que coller : le thermocollant, ça se décolle vite en concert.
- Renforcer les coutures aux extrémités pour éviter qu’il ne s’arrache en plein pogo.
- Ne pas chercher la perfection : un patch un peu de travers ou usé, c’est ça qui fait son charme.
L’usure, c’est ton histoire. Un patch neuf est beau, mais un patch marqué par le temps est unique.
Le Patch All That Remains comme bannière de passion
En fin de compte, un Patch All That Remains n’est pas un simple accessoire. C’est une bannière. C’est une preuve textile de ton appartenance à une famille de fans.
Que tu choisisses un patch imprimé All That Remains, un écusson All That Remains brodé ou un patch à coudre All That Remains, tu affiches ton identité. Tu dis au monde que tu crois en cette fusion entre puissance et mélodie, que tu portes en toi les hymnes du groupe.
Alors sors ton aiguille, choisis ton modèle et couds cette flamme. Parce que ce patch, c’est ton drapeau. Et il ne se déchirera jamais.